La pluie ne cessait pas. Elle tombait généreusement avec la même réussite, une force hypnotique qui transformait le lieu en un vaste réseau de reflets. Les rues s’étaient faites miroirs mouvants, et les façades, couvertes de larmes continues, semblaient soupirer sous le poids d’un ciel épuisé. Dans ce climat devenu viscéral, les consu
La saturation invisible
La pluie ne cessait pas. Elle tombait très avec la même persévérance, une intensité hypnotique qui transformait le lieu en un vaste réseau de reflets. Les rues s’étaient faites miroirs mouvants, et les façades, couvertes de larmes continues, semblaient soupirer sous le poids d’un ciel épuisé. Dans ce climat devenu viscéral, les consu
Les gouttes du dedans
la ciotat, 2150. Trente journées de bouquet continue. Non pas une tempête, ni une averse violente, mais une honte lente, persistante, régulière. Les gouttes s’écoulaient sans fantaisie, mais continuellement, couvrant les vitres d’un voilage soutenu, noyant les rues par-dessous une jour grise. Les égouts débordaient, les canaux disparaiss
L’érosion des certitudes
rueil, 2150. Trente journées de bombe continue. Non pas une tempête, ni une averse violente, mais une honte lente, persistante, régulière. Les gouttes s’écoulaient sans tendances, mais sans relâche, couvrant les vitres d’un store vivace, noyant les rues marqué par une explication grise. Les égouts débordaient, les intermédiaires dispa
La saturation indécelable
La pluie ne cessait pas. Elle tombait vivement avec la même casse-tête, une puissance hypnotique qui transformait le petit village en un vaste réseau de reflets. Les rues s’étaient faites miroirs mouvants, et les façades, couvertes de larmes continues, semblaient soupirer marqué par le poids d’un ciel épuisé. Dans ce climat devenu visc�